Un flan incroyablement bon à la louve …et peu de personnes au courant ; alors qui de mieux placés qu’Eric et Olivier, deux coopérateurs fans de Flan, pour nous en parler ?

Le flan d’Anthony Bosson (boulangerie l’Essentiel), Eric l’adore et il sait de quoi il parle, il est chef cuisinier depuis des années. Il en réalise parfois lui-même, « mais ça prend énormément de temps à cuisiner ! » Alors, quand il en trouve en bas à droite du frigo, tout au fond du magasin, il saute dessus.

Pour Olivier, autre adepte de ce flan, c’est un « vrai produit artisanal, de qualité, d’une rare onctuosité et surtout très bien équilibré avec sa pointe de vanille ». Rien à voir, selon lui, avec des flans de supermarchés : « Même dans certaines boulangeries, je suis très souvent déçu, ils sont caoutchouteux, élastiques et sans goût. » Mais une fois sur trois, il n’en trouve plus à la Louve, alors il nous en parle mais pas trop … ou alors il en faudrait plus dans nos frigos.

Pour le spécialiste Eric, il existe 3 catégories de flans : la première, un flan industriel bas de gamme, style supermarchés ou mauvaises boulangeries, sans goût de crème ni vanille. La deuxième, c’est celui de la Louve justement « avec une très bonne crème, bien crémeuse et une croûte qui se tient 3 ou 4 jours au frigo sans problème ». Seul bémol pour ce chef cuisinier qui a longtemps été aux manettes d’un restaurant, « c’est qu’il n’y pas de vrai grain de vanille dans ce flan, car c’est justement la vanille qui coûte le plus cher (la 3è catégorie, c’est un bon flan, très vanillé). Mais rapport qualité/ prix, il est imbattable, c’est un super compromis ».

« Meilleure saveur d’Île-de-France » nous explique Olivier qui le trouve vanillé à souhait et assez petit pour 5 à 6 personnes : « Dès que j’ai un anniversaire ou n’importe quelle autre occasion, c’est le dessert que j’apporte. Et tous deviennent aussi fan que moi. D’ailleurs à La Louve, c’est le running gag pendant nos services : Quoi ?! Tu ne connais pas LE FLAN ? ».

Donc attention les gourmands ! Apparemment, l’essayer c’est l’adopter.