Depuis quelques semaines déjà, vous avez pu remarquer – pour ceux dont les errances les amènent sur le quai de livraison en tout cas – une nouvelle presse à balle, fière et verte ! Egalement appelée « compacteuse » (ce mot au féminin n’existant pas dans le dictionnaire), elle est en charge, comme son nom l’indique, de réduire plus ou moins par 4 le volume des déchets en cagettes et cartons de la Louve.

Cette nouvelle compacteuse n’est pas encore en libre usage. Le guide du bon usage commun (moins long que le premier) est en cours d’édition et nous espérons que vous le lirez toutes et tous avant de trouver, d’ici à quelques mois peut-être, un QR code menant à une petite vidéo. La meilleure formation pour s’en servir restera toutefois la pratique. Vous serez aidé pour vos premières fois par un salarié ou un membre en charge de cet outil musclé : 5 tonnes de pression dans le vérin !

! Attention, ceux qui prétendent tout savoir feront les premières erreurs !

En effet, les protocoles changent ! 2 machines = 2 pratiques légèrement différentes

En attendant, la pratique est la suivante : le coordo décide avant chaque créneau de nommer un membre (le coordo lui-même si besoin) pour la veille et le compactage au « coup par coup » des cartons et cagettes se trouvant devant l’ascenseur dans leurs « taxis » respectifs. Le but est de supprimer, la phase de stockage des cartons et cagettes présents sur le quai afin de les placer directement dans les compacteuses. L’idée peut sembler contraignante, mais ce sont de nouvelles habitudes à prendre.

Celles-ci permettront plusieurs améliorations :

  • Gagner de l’espace sur le quai de livraison
  • Éviter l’accumulation de cartons et de cagettes conduisant à un travail de compactage en urgence le dimanche, afin de permettre le ramassage le lundi. C’est à chaque créneau d’organiser sa gestion des cartons et des cagettes pour que ce ne soit pas toujours les mêmes qui s’en occupent en fin de semaine.
  • La possibilité, en cas d’urgence, de travailler 2 fois plus vite
  • Une sécurité en cas de panne de l’une des deux compacteuses. Pour mémoire, 1 semaine sans compacter revient à remplir plus de la moitié du volume du quai de livraison et donc à ne plus pouvoir réceptionner nos marchandises.

Rappelons aussi que malgré leur simplicité d’usage et les dispositifs de sécurité existant, ces machines peuvent présenter un risque. Nous vous invitons donc, pour le moment, à vous présenter aux salariés avant de les utiliser ou à faire appel à eux si vous avez un doute sur la manière de procéder. Par ailleurs, nous vous incitons vivement à vous servir des équipements dédiés à votre sécurité tels que le casque et les gants.