Il était une fois, dans le monde impitoyable des protections périodiques, Amélie, Simone, Yvonne, Colette, Suzanne, Élise et Emma, un peloton de femmes fortes et libres ayant inspiré une véritable révolution hygiénique !
Depuis la nuit des temps, les menstruations font l’objet de nombreux mythes et superstitions. De l’Antiquité jusqu’au XXe siècle, toutes sortes de protections seront bricolées à partir des matériaux à disposition… Parallèlement à l’émancipation des femmes et tout comme nos modes de vie, celles-ci ne cesseront d’évoluer. Or, se voulant toujours plus pratiques et confortables pour libérer les femmes d’une contrainte physique et sociale, elles ont également appuyé l’essor du jetable, poussant au maximum l’usage de matières synthétiques et de plastiques dans leur fabrication.
Mais depuis quelques années, elles sont largement décriées, car en plus d’être clairement polluantes, elles contiennent une ribambelle de substances chimiques controversées comme les tristement célèbres perturbateurs endocriniens… Pour autant, à ce jour il n’existe toujours pas de norme ni de réglementation concernant la composition de ces produits intimes. Et c’est face à cela que de belles initiatives ont vu le jour, plus respectueuses de la santé des femmes et de l’environnement. En effet, beaucoup de marques ont lancé leur gamme éco suivie par l’avènement des protections réutilisables comme les serviettes en tissus, les cups et les fameuses culottes menstruelles actuellement très en vogue !
C’est ainsi qu’Amélie, Simone, Emma ou encore Yvonne se sont installées sur les étagères de La Louve s’imposant au milieu des protections hygiéniques plus classiques. Mais qui sont-elles ?
Elles sont autant de personnalités incarnées ayant inspiré Ethan, le créateur de la jeune marque de lingerie menstruelle La Culotte parisienne. Il est vrai que c’est avant tout une histoire de famille, celle d’un frère ayant grandi entouré de ses deux sœurs avec lesquelles il a découvert l’univers impitoyable encore tabou des menstruations et il a voulu en changer les règles ! Et puis, c’est aussi l’histoire d’un quartier de Paris où le jeune entrepreneur a grandi et installé ses locaux, débauchant tour à tour sa famille et des personnalités du quartier, formant ainsi une équipe mixte et éclectique tout en favorisant l’emploi local.
Alors curieux d’en savoir plus sur ces Parisiennes culottées, avec Aurélie, salariée, et Philippe, photographe du groupe com, nous avons suivi leur piste… À quelques blocs de La Louve, niché dans le 18e arrondissement, nous avons toqué à la porte de l’atelier. Clémentine, la responsable de la communication, et Natasha, la cheffe d’atelier, nous accueillent de bon matin pour nous faire la visite. Elles nous racontent l’histoire d’Ethan, de l’entreprise qui a soufflé sa 3e bougie au printemps, nous présentent les machines, les modèles, les matériaux et Natasha confectionne carrément une culotte sous nos yeux curieux 🤓.
Au mur nous retrouvons les portraits des 7 modèles portant LE prénom d’une figure emblématique féminine de notre histoire contemporaine : Amélie, Colette & Yvonne les culottes, Suzanne & Simone les shortys, Élise & Emma les tailles hautes… Dans la famille, il y a en a pour tous les culs : du 34 au 48, du flux léger à l’ultra +, noires intemporelles ou noires sensuelles avec dentelle…
Et pour garantir la promesse d’une lingerie saine, confortable et écoresponsable, les tissus sont bio et certifiés 😍. Les rouleaux de tissus arrivant d’Italie sont teintés en noir dans le sud de la France, puis découpés dans un atelier en banlieue parisienne pour arriver dans le 18e. C’est là que Natasha et son équipe aux mains expertes fabriquent les culottes en 7 grandes étapes, sur pas moins de 5 machines spécifiques et sont capables de produire pas moins de 400 culottes par jour !
Le savoir-faire français est assuré tout au long de la chaîne de fabrication. Et les culottes ainsi assemblées partent pour le stock deux rues plus loin, où elles seront emballées dans un joli packaging responsable et recyclable pour être finalement distribuées.
Une véritable « eco success story » pour cette jeune marque de lingerie menstruelle parisienne qui nous offre enfin une protection pérenne et sans danger ! Et la famille compte s’agrandir puisque la marque nous réserve de belles nouveautés dans les mois à venir…
« C’est un petit pas pour la culotte, un grand pas pour la planète ! »
Mais les menstruations ne sont pas uniquement une histoire de culottes. Et le jeune entrepreneur veut continuer de briser les tabous ✊🏻. La marque s’engage dans la lutte contre le fléau de la précarité menstruelle. Le blog informe. Insta résonne…
Venez vite découvrir ces belles culottes engagées dans notre rayon hygiène féminine, et profitez des tarifs défiant toute concurrence grâce à la politique de prix de La Louve.
La culotte Amélie
flux normal : 16,33€
flux ultra: 16,96€
Le shorty dentelle Simone
flux normal : 20,13€
flux ultra : 20,76€
La culotte Yvonne
flux ultra ++ : 19,50€
La culotte taille haute dentelle Emma
flux normal : 24,43€
flux ultra : 25,07€
Mémo :
- Premières règles vers 13 ans
- Ménopause vers 50 ans
- Soit une période de règles d’environ 37 ans dans la vie d’une femme
- Sur une durée moyenne de 4 jours par mois
- Avec l’utilisation de 5 protections jetables pour 24h
- Ce qui fait au moins 8880 produits d’hygiène jetés et non recyclés
- Moyennant 400 à 800 ans pour se dégrader
Pour une seule femme…
En images – Photos Philippe Labrosse